Les Incas et leur apport à la

civilisation actuelle.

1. Introduction

2. L’empire Inca

a) La dynastie Inca

b) Le mode de vie Inca

3. La conquête de l’empire Inca

a) Interprétation de l’histoire Inca

b) La route des conquistadores

4. La colonisation

a) Le métissage*

b) L’évangélisation*

c) Les femmes

5. Situation actuelle

6. Conclusion

7. Lexique/tabelle chronologique

8. Sources

1. Introduction

« Aujourd’hui que les dernières tribus nomades ont dû s’incorporer dans les plus basses classe sociales de la civilisation, on remarque que l’appauvrissement des indigènes a été proportionnel à l’avance industriel de l’occident. Que les indigènes qui ont « survécus » à l’urbanisation, considèrent leurs langues comme partie importante de leurs armes pour cette survie.

Avec l’or américain des expéditions, on a pu financer beaucoup d’investigations techniques et scientifiques, entre autre, les voyages mêmes à « Ultramar », la construction des bateaux et leur navigation c’est amélioré.

Les monarchies européennes ont disposés des ressources illimitées pour financer des projets et accomplir beaucoup de rêves. Une grande partie de cet or provient du territoire Inca et dans lequel on compte celui de l’Empereur Atahualpa.

En seconde place on compte les médecines qu’on extrait des plantes de l’Empire Inca, comme la quinine et le coca.»

Mon but avec ce travail est de faire une réflexion sur l’époque de l’histoire d’une partie de l’actuelle Amérique du sud.

C’est l’époque du XI au XVII° Siècle ap. J.-C. Qui était l’époque de l’Empire Inca, la conquête de l’Amérique du sud et la colonisation.

Dans ce travail on analysera la langue que les Incas parlaient au moment ou les conquérants sont arrivés, leurs croyances cosmogoniques*, de quelle manière les Incas ont aidés aux conquérants à accomplir leurs propos et leurs rêves, les nouvelles sources qui ont été découvertes là-bas et l’effet que la découverte des Incas à eu sur l’Europe.

Qu’est ce qu’à apporté l’Empire Inca à la civilisation actuelle ?

Etaient les nouvelles sources trouvées là-bas, bien employé pour toute l’humanité ? Ont-elles apportés des bénéfices ?

Comment est la situation actuelle pour les descendants des Incas aujourd’hui ?

En partie les questions sont répondues qu’à moitié ou on ne peut même pas les répondre.
Mais quand on réfléchit sur ces thèmes qui concernent toute l’humanité, il est possible que l’on trouve un chemin pour trouver des solutions de première nécessité pour notre planète, la planète bleue

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2. L’Empire Inca

a) La dynastie Inca

Les Inca, qui ont parlé le quechua, sont arrivées à l’actuel Pérou env. à l’année 1200 ap. J.-C.

Ils se sont installés dans la vallée du Cuzco. Les Incas ont appelé ce lieu „le centre du monde“.

La dynastie des Inca commence avec Manco Capac – le fils du soleil – et sa femme-sœur Mama Ocllo. Ils sont sortis des écumes du plus haut lac au monde, le Titicaca…

Ils ont adoptés comme emblème les couleurs de l’arc-en-ciel : Tumamay Unanch. A partir de ce moment là, ce drapeau flottera au vent dans toutes les fêtes et toutes les expéditions.

Sinchi Roca a organisé l’armée.

Lloque Yupanqui a conquit le grand pays du Titicaca.

Mayto Capac est arrive jusqu’en Arequipa.

Capac Yupanqui a traversé l’Apurimac et est arrivé à la cote.

A la deuxième moitie du XV° siècle la famille Yupanqui dominait une grande partie de l’Amérique.

Le pouvoir était aux mains du roi Pachacuti Yupanqui (1438-1471) et du roi Tupac Yupanqui (1471-1493) qui a gouverné ce qu’on appelle aujourd’hui la Bolivie. Il a agrandi son landkarteempire jusqu’au Chile et le nord-est de l’Argentine.

Le successeur de Pachacuti Yupanqui, Huaina Capac (1493-1525) à étendu l’empire du Cuzco jusqu’au nord de Quito et a conquit aussi le nord du Chile.

A la mort de Huaina Capac, est arrive le conquérant Pizarro au Pérou avec ses soldats.

A ce moment les fils de Huaina Capac se disputaient pour devenir roi du grand Empire.

Les fils étaient Huascar et Atahualpa. Le dernier Inca était Atahualpa Yunpanqui (1532). C’était la fin de l’empire.

a) Mode de vie Inca

Les Incas considéraient le soleil comme leur père et la terre comme leur mère. Ils appelaient le soleil Inti et la terre Pacha Mama.

Les Incas avaient une organisation sociale, une culture, une langue et de croyances déterminées.

L’Empire Inca s’étendait par le Tawantinsuyo*, il comprenait le Pérou, la Bolivie, la Colombie, une partie de l’Equateur, une partie de l’Argentine et une partie du Chili.

Les Inca possédaient une organisation sociale bien structurée, de formes pyramidales. Dans cette Pyramide chaque membre de la société avait son devoir déterminé. Il n‘y avait pas de chômage, il n’y avait pas de famine, il n’y avait pas des gamins dans la rue, il n’y avait pas de mendiants, il n’y avait pas de mafias, non plus de guérillas ou de paramilitaires.Kaffe

Les Incas avaient aussi une technique spéciale pour cultiver la terre. La terre méritait tout le respect.

Les Inca appelaient la terre la Pacha Mama ou la Terre mère. Ils avaient la conscience de la respecter comme une mère qui nous donne et redonne la vie. Par exemple avant de boire quelque chose, ils en donnaient d’abord un peu à la terre.

Le terraine cultivés s’appelait Milpa. Sur une Milpa on cultivait d’une façon mélangé et alternativement les plantes. Ils n’utilisaient pas la monoculture, qui rend la terre inutilisable. Les Incas avaient une très grande connaissance des plantes, ils les utilisaient très prudemment pour la médecine, pour l’alimentation etc.

Grâce aux Incas, on connait aujourd’hui les remèdes contre le paludisme et contre la fièvre jaune entre autres.

On fait ces remèdes avec le sulfate d’une substance extraite de l’écorce du quinquina.

Aussi le coca était une plante sacrée qui avec ces feuilles a permis d’élaborer les premiers anesthésiants, et donc réaliser les premières chirurgies au XV° siècle en Europe.

Les Incas avaient aussi des grandes connaissances architecturales qu’on peut encore observer aujourd’hui après tant de temps …

Comme le temple du Cuzco et Machu Picchu incas1

Incas

Les Incas utilisaient l’or dans leurs vie quotidienne, parce qu’ils étaient des grand orfèvres. Ils avaient des peigne en or, des ceintures avec des boutons en or et mêmes les habits étaient cousu en partie avec des fils en or très fins.

Ils buvaient dans des verres en or.

Ils appelaient l’or « les larmes du soleil ». Dans les temples il y avait beaucoup d’objets en or, avec des formes déterminées parce qu’ils pensaient que ce métal cumulait l’énergie du soleil, et qu’on pouvait l’utiliser pour la santé physique et mentale.

Et à cause de ce mode de vie, ils n’ont pas compris pourquoi les conquérants étaient si intéressés par l’or.

 

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3. La conquête de l’Empire Inca

a) Interprétation de l’histoire Inca

Touts les travaux d’histoire de l’Amérique du sud ont le principe du doute.

Les premiers documents écrits sur le “nouveau monde américain” sont très subjectifs.

Et à cause de ça il faut faire attention avec l’interprétation :

1. Les documents ont été écrits dans une autre époque avec une langue très ancienne,

et très différent de l’espagnol actuel.

2. Les rapporteurs avaient une optique influencée par la surprise et l’admiration

quand ils décrivaient des nouveautés inconnues pour l’Europe.

3. La réalité était souvent déformée quand ils essayaient de l’écrire.

Pour ces raisons il est nécessaire d’avoir l’aide de l’ethnologie* comme instrument auxiliaire d’interprétation. Dans ce cas là on considère la tradition orale comme une réalité. Parce que cette tradition signifie la mémoire collective des peuples.

b) La route des conquistadoresSud amerika

Une des grandes difficultés que les conquérants ont eu à confronter à l’arrivé au nouveau monde était le langage inconnu.

En 1492 Christophe Colomb découvrit les Antilles. Là-bas il a trouvé des habitants totalement inconnus pour les européens.

Dans la première expédition voyageaient des interprètes arabes pour traduire aux européens le langage des natifs, pourtant ils n’ont pas pu comprendre la langue parlé dans ces nouvelles îles, le Taino*. À cause de ça ils ont pris de natifs, pour les instruire comme interprètes.

Avant que la reine „Isabel la catholique“ finançait les expéditions officielles, quelques expéditionnaires ont risqués jusqu‘arriver à la côte nord de l’Amérique du Sud.

Les expéditionnaires ont pris des natifs prisonniers et en ont fait des interprètes.

De cette façon ils avaient des guides efficaces pour faire les premières incursions dans le terraine firme. Ces interprètes s’appelaient Lenguas.

Les expéditions ont seulement réussit jusqu’à l’année 1509. C’était quand Balboa à découvert Uraba (partie de l’actuelle Colombie). Il a trouvé les premières mines d’or et il s’est établi là-bas.

Le premiers explorateurs s’appelaient „Los Conquistadores“.

Les premières „ Conquistadores“ en Amérique du Sud étaient:

Ben Al-Cazar (1526-1539), Quesada (1536-1538), Pizarro (1536-1538) et Federmann (1535-1538).

Ils ont tous voyagé avec des Lenguas.

Ben Al-Cazar et Pizarro sont arrivés à l’île de Gallo, vis à vis de Tumaco (partie de la Colombie actuelle ). Ils sont restés quelques mois et ils ont instruits quelques natifs comme interprètes.

Ces natifs ont parlé le „Quechua“ la langue des inca. Ils ont donnait aux expéditionnaires information sur la terre firme.

De l’île de Gallo Ben Al-Cazar est allé jusqu’à Quito. À la côte équatorienne il a trouvé don Pedro Alvarado, le gouverneur de Guatemala.


Zentral amerika

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Don Pedro Alvarado cherchait El Dorado il était avec plus de 500 soldats espagnols, quelques noirs et à peu près 5000 natifs

„Mayas“ (raconté par Humberto Triana).

Pour maintenir son droit sur cette région Ben Al-Cazar a acheté son armé à don Pedro Alvarado.

Ben Al-Cazar a continué son voyage avec des interprètes Mayas et Quechuas, jusqu’au Quito.

Là-bas un indien a parlé d’un endroit nommé Bogota (mot de la langue Chibcha) qui avait beaucoup d’or.

„La cupidité de Ben Al-Cazar de trouver la province qui pour des histoires s’appelait El Dorado, a fait qu’il marchait avec ses soldats de Quito à Popayan, de l’ouest à l’est, il a trouvé le royaume qui avait déjà été decouvert et conquit par Gonzalo Jimenez De Quesada“. À ce moment, Nicolas De Federmann était déjà à Bogotá (raconté par Pedro Simon dans „Noticias historiales“).

Nicolas De Federmann est parti de la côte du Venezuela et est monté jusqu’au Bogota avec la collaboration des interprètes Catequios, Xideharas, Ayemenes et Cayones, comme il a écrit dans son „Historia indiana“.

Les Mayas sont ou bien restés aux régions plus basses et chaudes ou ils ont mourus aux Andes à cause de températures très froides.

Les Quechuas qui sont arrivés à Bogota, ont étaient connus comme Anaconas ou Yanaconas.

Ils ont exercés une influence sur les natifs du Plateau de Bogota comme a raconté Alonso de Zamora dans „Histoire de la province de nouveau royaume de Granada“:

„Les indiens -femmes et homes- de Quito et Popayan qui sont arrivés avec Ben Al-Cazar connaissaient bien la langue et le comportement familier des Muiscas (habitants du Plateau de Bogota), ils ont été utilisés comme interprètes et grâce à eux beaucoup de Muiscas sont allés à l’église et ont fait le baptême“.

Pizarro a continue vers le sud toujours accompagné par les Quechuas et avec leur aide il est arrivé au Cuzco.

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4. La colonisation

a) Le métissage

Après que les conquérants on trouvés des routes, des mines d’or, des territoires habitables, ils ont commencé à ramener des gens qui les aideraient à exploiter les mines, car les aborigènes américains n’étaient pas assez forts, et mourraient trop vite avec les travaux difficiles. C’est pour cette raison que les colonisateurs ont commencé avec le commerce d’esclaves importés de l’Afrique vers l’Amérique.

Une continuelle transplantation humaine et culturelle est la caractéristique de 3 Siècles de domination européenne.

La mélanges de sangs européen, africains, indiens et aussi asiatique ont fait les métissages actuels.

Aussi l’union de toutes ses civilisations a donné comme résultat une nouvelle culture.

La culture d’Amérique du sud est une nouvelle culture. C’est pour ça qu’il est tres important de connaître bien l’histoire.

b) L’évangélisation

Le première document réel avec la date 1550, quand Charles V d’Autriche et I de l’Espagne a ordonné l’apprentissage du Castellan pour touts les natifs des colonies espagnoles.

C’était plus facile pour administrer et pour évangéliser. Mais pas touts les missionnaires et pas touts les colonisateurs étaient d’accord avec cette mesure prise du Roi Charles V.

Le royaume de Charles V rassemblait : L’Autriche, l’Allemagne, les Pays-Bas, Flandres, Aragon, Castilla, Cataluña, Napoli, Milan, Sicile, Cerdagne, les places de nord de l’Afrique et les territoires découverts en Amérique du Sud.

Malgré la désintégration de l’Empire Inca, la langue quechua a survécu à toute la période coloniale. La langue Quechua c’est imposé comme langue de communication, et elle c’est étendue dans toute l’Amérique du sud.

Jusqu’à qu’un vice-roi d’Espagne a imposé la loi d’enseigner le quechua pour pouvoir continuer l’évangélisation (7 Juillet 1579)

c) Les femmes

Finalement les colonisateurs ont amenés leurs femmes de l’Europe. Mais pour celles-ci, le climat a été insupportable alors elles avaient toujours besoin de serviteurs, même quand elles ont eu des enfants, les femmes aborigènes les ont aidé à allaiter, et à éduquer ces enfants.

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5. Situation actuelle

La situation des indiens actuelle, descendants des Incas ne c’est pas amélioré, ils sont chassés de partout et discriminés par tout le monde, ils n’ont pas d’endroit officiel où vivre, ils n’ont pas de droit. On a oublié tout ce qu’ils nous ont donnés.

Ici suit un exemple de leur situation en Colombie :

« La plus grande problématique qu'affligent les Peuples Indigènes est en rapport avec le conflit armé qui par des décennies a persisté en Colombie et au lieu d'être résolu il tend à être accentué. Les acteurs armés nous confinent dans nos territoires, et l'État par la mise en œuvre de la militarisation contribue à nourrir des stratégies de guerre avec des effets non-discriminés, qui se reflètent dans systématiques meurtres, persécutions, menaces et disparitions.

Ces faits démontrent des actions violentes et des formes connexes d'intolérance puisqu'ils nous soumettent comme blanc de feux croisés devant notre position de ne pas être insérés dans le conflit.

La discrimination ethnique, l'exclusion sociale et les conditions sociales de la Population Indigène qui se trouvent en situation de déplacement s'aggravent.

Il n'existe en Colombie aucune institution qui se charge la protection et la défense de ses droits. Malgré l'existence comme être gouvernemental le Réseau de Solidarité Sociale créée pour l'attention spéciale de personnes en situation de déplacement. Il n'existe là de programmes spéciaux ni un autre aucun organisme qui tend par l'accomplissement les Droits Humains et de DIH, et moins par l'appui pour garantir le retour sûr aux Peuples d'Origine.

Ce qui précède entraîne à l'ignorance sur l'importance qui a pour nous le lien permanent avec nos territoires ancestraux pour la survivance de nos cultures. Il n'existe en outre pas de politiques de réparation intégrale pour les victimes du conflit, ni l'intention de faire de la justice sur les responsables, il n'y a pas non plus de la volonté politique pour éclaircir les faits qui ont porté à ces conditions de violation de nos droits.

Nous réitérons qu'on maintient la discrimination vers les Peuples Indigènes quand nous on margera de la société et on prend des décisions qui insèrent nos territoires en ne connaissant pas le droit à la consultation préalable. Dans les actions du gouvernement avec la mise en œuvre de Mégaprojets et l'application de politiques nationales et internationales à l'intérieur les territoires indigènes est reflétée la violation de l'autonomie des Peuples Indigènes, de sorte qu'on doive évaluer toutes les répercussions de ce qui est mégaprojets qui on essaye de mettre en œuvre dans nos territoires. » ( extrait de www.etniasdecolombia.org)

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6. Conclusion

L’Empire Inca a été un grand investisseur pour le progrès des pays industrialisés, mais il a été un investisseur sans gains.

Sans l’aide des indigènes, ni la conquête ni la colonie n’auraient pu être réalisés. Les sources ont été d’une part bien employé, mais de l’autre, pas trop : Ils ont bien fait évoluer la technique, la science etc. mais tout pour le continent européen.

J’ai aussi beaucoup entendu, des indigènes colombiens, dire qu’ils trouvaient que les hommes "civilisés" sont leurs frères mineurs et qu’ils ont encore beaucoup à apprendre par rapport à la protection et le respect de la nature.

La situation actuelle des indigènes Sud-Américains est plutôt triste, je trouve, ils n’ont plus "leur" pays, leur culture et ils sont maltraités. Le côté positif est que comme ils sont un peu partout dans le monde maintenant, ils ont une chance de faire évoluer leurs culture et/ou croyances.

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7. Lexique/tabelle chronologique

Métissage : mélange, croisement des races.

Evangélisation : C’est le fait de christianiser les non-croyants.

Croyances cosmogoniques : Ici, leurs croyances en des êtres supérieurs provenant de l’univers, pour justifier ce qu’ils ne comprennent pas.

Tawantinsuyo : nom quechua pour le continent Américain.

Ethnologie : Etude théoriques des groupes humains.

Taino : Langue indigène des aborigènes des Antilles.




Empire Inca

Temps de leur règne
Pachacuti Yupanqui Tupac Yupanqui Huaina Capac Atahualpa Yupanqui
1438-1471 1471-1493 1493-1525 1525-1532


Conquérants

Le temps de leurs conquêtes
Ben Al-Cazar Quesada Pizarro Nicolas De Federmann
1526-1539 1536-1538 1536-1538 1535-1538

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8. Sources

Cieza de León, Pedro: “El Señorío de los Incas”. Instituto de Estudios peruanos. Lima, 1967. p. 119

Torero, Alfredo: “El Quechua y la historia social andina”.universidad Ricardo de Palma. Lima, 1974. p. 98

Jiménez de la Espada: Marcos (Ed.) “Relaciones geográficas de Indias” Datan de 1586. Publicadas en Madrid, 1885. Vol. II p. 7.

Gonzalo Holguín, Diego: “Vocabulario General de la lengua del todo el Perú llamada lengua Quichua o del Inca.” UNMSM. Lima, 1952. p. XLI.

Colón, Cristóbal: “Diario de Relaciones de Viaje” (Biblioteca de la Historia). Madrid: Villena, Artes Gráficas. 1985. p. 220

Triana Humberto: “Las lenguas indígenas en el nuevo reino de granada” Imp. Patriótica del Instituto Caro y Cuervo. Bogotá, 1987. p. 117

Simón, Pedro: “Noticias historiales” (de las conquistas de la tierra firme en las Indias Occidentales). Original impreso en Cuenca España en 1627. Edición de la Biblioteca del Banco Popular, Bogotá, 1981. Tomo II, P. 10

Zamora, Fray Alonso de: “Historia de la Provincia de San Antonio del Nuevo Reyno de Granada” (Instituto Colombiano de Cultura). Bogotá, Editorial Kelly 1980. TI. P. 272

Triana, Humberto: Ibíd. pp. 402- 519

Burns Glynn, William: “La escritura Inca”. La Prensa. Domingo, 20 de Mayo de 1979, página Editorial. Lima.

Gracilaso de la Vega, Inca: “Comentarios Reales los Incas” Lima: UNMSM, 1959. pp. 202 – 208

Gracilaso. Ibíd. p. 20.

www.etniasdecolombia.org

fr.wikipedia.org/wiki/Inca

Gomez - Martha Eugenia "El Quechua y su influencia en el castellano actual". l994 . Bogota- Colombia.

Traduccion , Bitar Ammar. 2007 Berna- Suiza.

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